Ceci est le blog de la professeur Luciana Cavalheiro et de ses étudiants de français au Basique II à l'Unilinguas.

jeudi 14 juillet 2011

Matricula

Oi Colegas
Fiz minha matricula p/ continuar estudando nas quartas.
Não esqueçam de pedir o desconto, o valor continua o mesmo.

mercredi 6 juillet 2011

Le Texte de Monsieur Rainer

Nicolas voulait un vélo. Pour obtenir son vélo, son père lui a dit qu'il devrait se situer parmi les dix premiers à la composition d’arithmétique. Nicolas était tout content hier em rentrant de l’école, parce qu'il était dixième à la composition... (il a omis certaines informations, mais il a obtenu le vélo). Il était dans le jardin, avec son père. Son père a dit qu'il était un champion de près d'un vélo. Leur voisin, Monsieur Blédurt, a commencé à rire quand il a vu papa de Nicolas sur le vélo. Le père de Nicolas et Monsieur Blédurt ont commencé à se disputer pour savoir qui était mieux cycleur. Ils ont donc décidé de courir autour du pâté et de compter le temps. Monsieur Blédurt a été le premier à courir et il a fait un peu plus de 9 minutes. Le père de Nicolas est allé, mais il est revenue plus de 15 minutes plus tard avec un vélo cassé et Nicolas était vraiment triste.

vendredi 24 juin 2011

Petit Nicola - Djodjo



Djodjo
Il y eu un nouveau en classe. L’après-midi, la maîtresse est arrivée avec un petit garçon. Il avait des cheveux tout rouges, des taches de rousseur et des yeux bleus. Il est étranger et ses parents l’ont mis dans cette école pour qu’il apprenne à parler français. La maîtresse a demande à ses élève d’être très gentils avec lui. La maîtresse s’est tournée vers le nouveau et elle lui a dit: - Dis ton nom à tes petits camarades. – Le nouveau n’a pas compris ce qu’elle demandait. Il a souri et les petits camarades ont vu qu’il avait des tas de dents terribles. La maîtresse a dit qu’il s’appelait Georges Mac Intosh. Le nouveau a dit, Dgeorges. Maixent a demandé: Ils s’appelle Georges ou Dgeorges? La maîtresse a expliqué qu’il s’appellait Georges, mais que dans sa langue, ça se prononçait Dgeorges. Maixent a dit qu’on l’apellerait Jojo. Joaquim, a dit qu’il fallait prononcer Djodjo.
La maîtresse a fait asseoir Djodjo à cote d’Agnan. Agnan avait l’air de se méfier du nouveau, comme il est le premier de la classe et le chouchou de la maîtresse. Agnan a toujors peur des nouveaux, qui peuvent devenir premiers et chouchous. Avec ses amis, il sait qu’il est tranquille.
Agnan a dit qu’il possédait quelques rudiments d’anglais, et il ferait Georges parler. Mais après qu’Agnan a sorti ses rudiments à Djodjo, le nouveau l’a regardé et puis il s’est mis à rire et il s’est tapé le front avec le doigt. Agnan était très vexé, mais Djodjo avait raison.
La récreation a sonné. Les petits camarades ont posé beaucoup de questions à Djodjo. Il a montré des tas de dents. Agnan a dit qu’il pouvait traduire. Rufus a dit, toi, tu es un dingue. Georges a dit tout content: Dingue,dingue, dingue! Espèce de guignol a crie Eudes. Après Eudes a dit: il a essayé de boxer avec Djodjo. La récreation s’est terminée. En classe, la maîtresse a demandé à Djodjo s’il s’était bien amusé. Agnan s’est levé et il a dit qu’on lui avait pris des gros mots! Tout fier, Djodjo a dit: Dingue, espèce guignol, sale menteur.


On ne disait rien, parce qu’on voyait que la maîtresse n’était pas contente du tout. La maîtresse a dit: - Je vous avais demandé pourtant d’être gentils. Vous vous êtes conduits comme des petits sauvages. - Agnan s’est mis à pleurer, la maîtresse a dû sortir avec lui pour et le calmer. Quand la maîtresse est revenue, avec Agnan, elle avait l’air fatiguée. La cloche a sonné la fin de la classe. Elle a pensé à ce que les parents de Georges allaient penser.


La Maîtresse avait tort de s’inquiéter, parce que les parents de Djodjo ont dû penser qu’il avait appris tout le français dont il avait besoin. La preuve, c’est que Djodjo n’est plus revenu à l’ècole.

jeudi 23 juin 2011

Le petit Nicolas- On a eu l'inspecteur

La maîtresse est entrée en classe toute nerveuse .Elle a parlé sur l'inspecteur .
Elle a demandé qu'ils fassent bonne impression.
Agnan a pris l'éncre.
Agnan a souté quand quelqu'un a crié :<<Voilá l'inspecteur!>>
Il  a eu tellement peur quíl a renversé de l'encre partout sur le banc .L'inspecteur s'est effrayé.
Ils ont vu que l'inspecteur , la maîtresse  et le directeur n'avaient pas l'air de rigoler.Ils ont décidé d'êntre sages et disciplinés.

mercredi 22 juin 2011

Les carnets


Il y a eu un jour où Nicolas et ses collègue n'ont pas rigolé dans l'école. Ils ne sont pas sortis très vite quand la cloche a sonné à la fin de la classe. Au lieu de courir comme d'habitude, ils sont sortis doucement: c'était le jour des carnets!

C'est le directeur qui est allé à la classe pour distribuer les carnets et les papas devaient les signer. Le directeur a dit qu'il a jamais vu une classe aussi dissipé et Clotaire s'est mis à pleurer. Lui, il est le dernier de la classe et tout les mois, comme son carnet il n'est pas bon, Clotaire reste sans dessert et télévision. Son papa va voir la télé chez des voisins! Nicolas est considéré un éleve turbulent, souvent distrait et pourrait faire mieux, aussi comme tout ses collègues, moins Agnan, le chouchou de la maîtresse.

Dans la rue, ils sont allés en traînant les pieds. Alceste s'est arrêté devant la pâtisserie pour faire des provisions. Il a acheté six pains au chocolat et il a commencé à manger tout de suite. Eudes a proposé à Nicolas d'aller dormir chez lui si Nicolas avait peur de rentrer à sa maison. Eudes il n'a pas peur. Il va regarder son papa des les yeux et son papa va signer le carnet sans rien dire. Mais quand ils ont arreté devant chez Eudes, il est entrée et Nicolas a attendu. Alors, Nicolas a entendu une claque et le papa d'Eudes l'a envoié au lit sans dessert. Eudes a pleuré. Donc Nicolas, pas de choix, il dois aller chez lui. Il a marché en faisant attention de ne pas mettre les pieds sur les raies entre les pavés, très facile parce que lui n'aillait pas vite.

Il dèjá imaginait ce que son papa dirait, que lui était toujours le premier de sa classe, qu'il a gagné le tableaux d'honneur, mais qu'il les a perdu dans le déménagement quand il s'est marrié. En suite son papa dirait qu'il sera pauvre, que les gens vont le montrer du doigt et on va rigoler: "C'est Nicolas, celui qui avait des mauvaises notes à l'école. Nicolas sait que son papa parlera de tous ses efforts pour donner une bonne education et que lui n'aura pas de dessert et ne peux pas aller au cinéma. C'est comme tout les mois. Nicolas a pensé qu'il allait affronter son papa et lui dirait qu'il allait quitter la maison et partirait très loin et faire beaucoup d'argent et mènerait ses parents
au cinema et les gens n'allait pas rigoler.

C'était trop tard et Nicolas a commencé à marcher très vite avec une grosse boute dans la gorge. Quand il est rentré, son papa était en train de parler avec sa maman. Le papa de Nicolas n'avait pas l'air content, ils ont discuté sur les factures de la maison. Nicolas, alors, l'a donné le carnet, il a ouvert le carnet, il a signé et a continué à discuter avec la maman de Nicolas. Il est allé à la chambre et s'est mis à pleurer, parce que, il pense, que si son papa et sa maman l'aimait, ils s'occuperaient un peut plus de lui!

Chouette Bouquet

Mon histoire du Petit Nicolas est le Chouette Bouquet. Cette histoire raconte sur le cadeau d’anniversaire de ma mère Du Petit Nicolas.
Il a une tradition, crée l’année passée, pour donner un cadeau a sa mère. Cette année Il a choisi de lui donner un bouquet de fleurs.
Il a decide de acheter après l’école. Son collègue Alceste l’a accompagné jusqu’au fleuriste.
Quand ils sont arrives, la vendeuse a dit que l’argent n’était pas assez pour acheter le bouquet qu’il voulait mais comme elle l’a trouvé un mignon petit garcon elle ferait quelque chouse pour lui.
Après sortir du fleuriste avec son bouquet il a recontré plusiers camaradas de classe. Et dans chaque recontre. Il s’est mis em confusion qù’ Il a termine avec son cadeau.
Il a finit La journeé avec une seule fleur pour Donner à sa mere. Il est arrive a la maison en train de et a donné a sa mère le cadeua et lui a dit “Joyex anniversaire maman” Ella a regardé la fleur et lui a embrassé trés fort et a mis la fleur dans le grand vase bleu du salon. Et a dit qu’elle n’avait jamais reçu un aussi beau bouquet.

mardi 21 juin 2011

LE PETIT NICOLAS – JE FUME

Un matin le petit Nicolas était à son jardin et ne faisait pas quand son ami Alceste est arrivé. Alceste a demandé à ce que Nicolas a été fait, mais Nicolas a dit l'a été à ne rien faire. Puis Alceste à dit à Nicolas qu’ il voulait montrer quelque chose.

Alceste était gros et mangeait tout le temps, mais à cet moment il ne mangeait pas et il était avec sa main sur sa poche. Nicolas a demandé ce qu’ il voulait lui montrer. Et il a montré au petit Nicolas un cigare énorme et qui n’était pas du chocolat. Nicolas pensait que son papa et sa maman n’aimait pas qu’il fume mais, il pensait qu’ ils ne l’ont jamais interdit de fumer.

Ils ont décidé d’aller à un lieu calme pour fumer tranquillement mais pas très lois de la maison. Quand ils arrivaient Alceste a demandé du feu mais Nicolas n’avait pas du feu, Nicolas a suggéré de prendre le feu dans le bureau du tabac, mais le vendeur n’a pas accepté de vendre parce qu’ils sont petits.

Ils ont presque abandonné l’idée de fumer quand ont vu une boîte d'allumettes, rapidement ils ont été au terrain vague pour fumer dans une voiture abandonnée. Alceste avait le première et Nicolas fumait après, le deux garçons étaient étouffés par la fumée.

Après, les garçons sont retournés à leurs maisons. Quand le petit Nicolas arrivait son papa était en train de fumer la pipe et il a dit à sa maman qu’ il a fumée. Après, sa maman a interdit son papa de fumer la pipe.

On a répété pour le ministre


Le directeur a annoncé la visite du ministre à l'école le lendemain. Le ministre a été un élève de l'école et le directeur a voulu faire quelque chose d'espécial pour lui. A cause de ça, les étudiants devaient répéter. D'abord, ils ont chanté La Marseillaise avec Mademoiselle Vanderblergue, la professeur de chant. Pourtant, il y avait un problème: les petits chantaient un peu en avance sur les grands. La professeur a grondé les petits, mais Nicolas a pensé que cela n'a pas été juste, parce que les grands étaient en retard, alors les petits ont gagné! On a changé d'idée: les petits se sont arrêtés de chanter et seulement faisaient semblant.

Après, le directeur a dit qu'il voulait donner des fleurs pour le visiteur important. Donc, il a choisi trois garçons pour faire ça: Nicolas, Eudes et Agnan, qui était le premier de la classe et le chouchou de la maîtresse. Il a dit qu'il voulait encore mettre un noeud blanc, blue ou rouge (les couleurs de France) dans leurs cheveux. De toute façon, pour la répétition, le directeur a eu besoin seulement de quelque chose ressemblant à des fleurs. Le Brouillon, qui était le surveillant, a eu une idée: il a trouvé trois plumeaux. Le directeur a été surpris, mais il a accepté et il a donné un “bouquet” à chacun. Les étudiants ont supposé que le directeur était le ministre et ils leur ont donné les plumeaux.

Geoffroy a commencé a rire et le directeur a demandé pourquoi. Le garçon a repondu: l'idée de mettre un noeud dans les cheveux des Nicolas, Eudes et Agnan était très drôle. Eudes n'a pas aimé écouter ça et tout le monde a commencé a se battre et a courir partout, sauf Agnan, qui criait que personne ne l'aimait. Le lendemain, le ministre est venu, mais les petits n'ont le pas vu, parce qu'ils étaient à la buanderie et la porte était fermée à clef!



REX – Le petit Nicolas

Nicolas était déjà sorti de l'école quand il a vu un petit chien . Il a offert la moitié de son petit pain au chocolat, que le petit chien a mangé. Le petit chien a aimé Nicolas, et celui-ci l'a appelé Rex, comme dans un film policier. Après, le petit chien a suivi Nicolas tout content. Nicolas a pensé que ça irait faire sa maman et son papa une bonne surprise. Il voulait enseigner Rex à faire des tours et à prendre soin de la maison.


Mais, quand Nicolas est arrivé à la maison avec Rex, sa maman s'est mise à crier. Nicolas a essayé d'expliquer pourquoi il était avec Rex, mais le petit chien a sauté sur le fauteil, où ni son papa peut s'asseoir, et il a mordu le coussin. Sa maman a dit à Nicolas qu'elle l'avait défendu de ramener des bêtes à la maisoon et que Rex pouvait être dangereux. Après, sa maman a dit qu'elle le donnait à Nicolas une minute pour sortir Rex de la maison.


Nicolas était trop triste, mais c'est ce que il a fait. Il était en train de pleurer quand son papa est arrivé. Nicolas a expliqué à son papa son problème. Le papa de Nicolas, au début, lui a dit qu'un chien à la maison pourrait être un peu dangereux, mais Nicolas lui a dit que Rex était un très bon chien et Rex lui a prouvé quand s'est mis à lui lécher la main. Le papa a aimé le petit chien et il a promis de discuter ça avec la maman.


Le papa de Nicolas lui a dit que la maman ne voulait pas du chien dans la maison. Alors, Nicolas a eu une idée, Rex pourrait rester dans le jardin. Le papa a accepté et il est allé chercher ses outils pour construire une niche à Rex. Nicolas était très content, et son papa a commencé à construire la niche.


Après, le papa de Nicolas a crié, à cause du coup de marteau qu'il s'est donné sur le doigt, et la maman de Nicolas est sortie de la maison. Alors, Nicolas lui a expliqué leur décision. La maman n'était pas contente, mais Rex, il s'est approché d'elle et il lui a léché la main.


Alors, on a sonné à la porte du jardin. C'était un monsieur qui voulait son chien. La question était que Rex était ce chien et en fait Rex s'appelait Kiki. Le monsieur a dit que son chien avait un collier avec son nom et son adresse. Après, le monsieur est parti avec le petit chien. Nicolas et sa maman se sont mis à pleurer, et le papa de Nicolas a dû promettre à la maman de Nicolas qu'il lui ramènerait un autre chien.

samedi 28 mai 2011

Un souvenir qu´on va chérir


Un matin, Nicolas et ses amis sont arrivés à l'école très heureux, parce que ce jour ils allaient prendre une photo du groupe, ce qui serait un souvenir qu´ils vont chérir toute leur vie. La professeur avait demandé à toute le monde d'aller à l'école bien soigné et peignés ce jour.

Quand Nicolas est venu à l'école tous ses collègues étaient déjà là. Geoffroy était habillé comme un Martien.

Le photographe était là avec son appareil photo et la professeur a demandé que la photo soit prise rapidement, parce que les garçons perdaient leur cours d´arithmétique. Agnan, le première de la classe et le chouchou de la professeur, n'aime pas manquer la classe.

Les garçons étaient très enthousiastes et la professeur menaçait les garçons que s'ils ne se calmaient pas, ils allaient en classe sans prendre la photo.

Le photographe a demandé que les garçons reste sur trois rangées pour la photo: la première rangée assis par terre, la deuxième rangée à côté de la professeur et la troisième rangée debout sur les caisses.

Les garçons sont allés chercher les caisses dans la cave de l'école et ils ont sali leur front à la cave. Les seuls qui ont été nettoyés après la recherche des caisses ont été Agnan et Geoffrey. Tous les autres garçons ont dû aller aux toilettes pour se laver de sorte qu'ils puissent prendre la photo.

Les garçons sont de retour et peignés un peu humide, mais le photographe a dit qu'il n'aimait pas pour la photo, il ne serait pas beau voir ça. Il a demandé les jeunes de prendre position pour la photo, les plus petits à l'avant et les meilleurs dans les cases.

En organisant les garçons ont commencé à se battre parce que tout le monde voulait être dans la troisième rangée. Pendant que les garçons se disputaient, Geoffrey s'est intéressé à l'équipement du photographe et a commencé à poser plusieurs questions sur le appareil. Le photographe a semblé surpris par l'intérêt de l'enfant et Geoffrey renvoyé à sa place.

Les garçons ont été disposés en trois rangées. Nicolas a été dans la première rangée à côté de Alceste. Alceste, qui est un garçon très grand, il a mangé tout le temps. Il avait une tartine de confiture quand le photographe lui a dit d'arrêter de manger. La professeur lui a dit de laisser tomber la tartine. Alceste a été surpris par le cri de la professeur et frappa la tartine sur sa chemise.

La professeur a demandé à Eudes, qui était à la deuxième rangée, d'échanger sa place avec Alceste pour qu´on ne voie pas la tache sur la chemise. En raison de l'échange, les garçons sont retournés au combat. La professeur a commencé à distribuer des punitions à tout le monde, en essayant de calmer la foule.

À la fin de la confusion, elle a promis de retirer toutes les peines si les garçons se comportaint et continuaient tout droit à la photo. Tout le monde s'est accordé à obéir. Les garçons dans la position requise et en souriant.

Mais après toute cette confusion, on s´est aperçu que le photographe est parti. Il était parti, sans rien dire.

mercredi 13 avril 2011

L'inconnu du metro



Fotos Fernanda Souza


Tous les jours des milliers de personnes passent dans le metro de Paris. Des parisiens, des Pakistanais, des touristes, des travailleurs, un vieux homme, une jeune femme, un petit garçon, une joile fille, un chat, un chien, un ébloui, un rêveur, un français bourré (pas inhabituelle).

Beaucoup de gens en train d'aller et venir.


Qui est cette personne assise en face de moi? Qui est cet homme qui se gratte la tête? Et cette femme qui m'a poussé à la porte?


Qui sont ces gens? À decouvrir sur http://linconnudumetro.metrofrance.com/




mercredi 30 mars 2011

Chanteuse française en São Leopoldo et Porto Alegre

Salut gars,

Le concert de la chanteuse Berry sera vendredi, 1 Avril en Porto Alegre (Sesc) et samedi, 2 Avril en São Leopoldo, 20 heures. Le prix du billet pour le concert en Porto Alegre est R$ 20 et R$ 10 pour les étudiants.

Je n'ai pas trouvé plus des l'information parce que le website de l'Alliance Française apparaît piraté, bizarre!

Un garçon égyptien




Quand je vois des nouvelles de ce qui se passe en Egypte, je me souviens d'un garçon égyptien qui avait dans le cours de français que j'ai auivi l'été dernier. Le seul égyptien que j'ai rencontré jusqu'a aujourd'hui. Un garçon aux yeux verts émeraude. Il ne parlais pas anglais et la timidité des adolescents à l'apogée de 17 ans l'empêchait d'essayer de s'exprimer en français. Est-il toujours à Marseille? Ou il est de retour en Egypte et fait partie de ces protestations? Ou a été blessé en ces manifestations? Je pense que sans doute il est illégal dans la ville française et il a tenu à l'écart de cette guerre.




Il n'est pas allé en France à la recherche de la démocratie. Comme tout jeune homme a un rêve: il veut être médecin et semble ignorer tous les problèmes auxquels il doit faire face. Nous savons tous que la médecine est un parcours difficile et il aurait encore à surmonter la barrière linguistique. Son immaturité et, peut-être, le fait qu'il est vraiment timide, l'a empêché de s'accrocher à ces classes qui sont la première étape majeure vers la conquête de sa profession. Il a été le plus calme de mes collègues plus jeunes. Les garçons afghans ne pouvait pas dissimuler l'enthousiasme de partager une salle de classe avec trois filles de cultures plus ouvertes, y compris une Brésilienne. J'étais curieuse de ce mari qui a conduit à un collègue marocain, qui portait le voile, à la salle de classe tous les jours. (je n'ai pas compris cette phrase)




Et je n'oublierai jamais la première fois d'être là-bas à estimer que le Brésil est un pays merveilleux. Chaque fois que j'ai été demandée de parler des problèmes du mon pays que j'ai signalé l'insécurité que nous vivons ici et qui a impressionné les étrangers. Ce jour-là j'ai même été gênée d'avoir signalé que, comme en Afghanistan, ils n'avaient pas le choix: soit travailler pour les Américains ou les talibans et dans les deux cas, cela pourrait être une condamnation à mort. Les égyptiens et algériens garçon ne pouvait pas exprimer ce genre de problèmes causés à quitter leur pays, ont simplement indiquer que c'était à cause de problèmes. Mais nous pouvons avoir l'idée, une vague idée, en fait.




Les garçons, dans un certain idéal antique les a motivés: Liberté, Égalité, Fraternité. Ils n'ont pas seulement raconté, cette solidarité est griffée du mot du vocabulaire capitaliste. Dans ces pays dans le conflit, même s'ils ont beaucoup de problèmes, les gens divisent toujours une assiette de nourriture. C'est la lutte toujours pour la liberté. Un droit qui, au milieu du siècle 21, encore besoin être conquis avec de certaines barbaries.




original à http://fernandasouza.wordpress.com/2011/02/03/an-egyptian-boy/ (en portugais)

dimanche 20 mars 2011

Bonjour à tous!!!

Je vous souhaite la bienvenue ce semestre sur notre blog.

J'espère qu'on va bien travailler, une fois de plus.

A mercredi,
Luciana