Ceci est le blog de la professeur Luciana Cavalheiro et de ses étudiants de français au Basique II à l'Unilinguas.

mercredi 30 mars 2011

Un garçon égyptien




Quand je vois des nouvelles de ce qui se passe en Egypte, je me souviens d'un garçon égyptien qui avait dans le cours de français que j'ai auivi l'été dernier. Le seul égyptien que j'ai rencontré jusqu'a aujourd'hui. Un garçon aux yeux verts émeraude. Il ne parlais pas anglais et la timidité des adolescents à l'apogée de 17 ans l'empêchait d'essayer de s'exprimer en français. Est-il toujours à Marseille? Ou il est de retour en Egypte et fait partie de ces protestations? Ou a été blessé en ces manifestations? Je pense que sans doute il est illégal dans la ville française et il a tenu à l'écart de cette guerre.




Il n'est pas allé en France à la recherche de la démocratie. Comme tout jeune homme a un rêve: il veut être médecin et semble ignorer tous les problèmes auxquels il doit faire face. Nous savons tous que la médecine est un parcours difficile et il aurait encore à surmonter la barrière linguistique. Son immaturité et, peut-être, le fait qu'il est vraiment timide, l'a empêché de s'accrocher à ces classes qui sont la première étape majeure vers la conquête de sa profession. Il a été le plus calme de mes collègues plus jeunes. Les garçons afghans ne pouvait pas dissimuler l'enthousiasme de partager une salle de classe avec trois filles de cultures plus ouvertes, y compris une Brésilienne. J'étais curieuse de ce mari qui a conduit à un collègue marocain, qui portait le voile, à la salle de classe tous les jours. (je n'ai pas compris cette phrase)




Et je n'oublierai jamais la première fois d'être là-bas à estimer que le Brésil est un pays merveilleux. Chaque fois que j'ai été demandée de parler des problèmes du mon pays que j'ai signalé l'insécurité que nous vivons ici et qui a impressionné les étrangers. Ce jour-là j'ai même été gênée d'avoir signalé que, comme en Afghanistan, ils n'avaient pas le choix: soit travailler pour les Américains ou les talibans et dans les deux cas, cela pourrait être une condamnation à mort. Les égyptiens et algériens garçon ne pouvait pas exprimer ce genre de problèmes causés à quitter leur pays, ont simplement indiquer que c'était à cause de problèmes. Mais nous pouvons avoir l'idée, une vague idée, en fait.




Les garçons, dans un certain idéal antique les a motivés: Liberté, Égalité, Fraternité. Ils n'ont pas seulement raconté, cette solidarité est griffée du mot du vocabulaire capitaliste. Dans ces pays dans le conflit, même s'ils ont beaucoup de problèmes, les gens divisent toujours une assiette de nourriture. C'est la lutte toujours pour la liberté. Un droit qui, au milieu du siècle 21, encore besoin être conquis avec de certaines barbaries.




original à http://fernandasouza.wordpress.com/2011/02/03/an-egyptian-boy/ (en portugais)

2 commentaires:

  1. Super Fernanda!!!

    Regarde la correction sur le blog.

    A mercredi,
    Luciana

    Quand je vois des nouvelles de ce qui se passe en Egypte, je me souviens d'un garçon égyptien qui avait dans le cours de français j'ai fait l'été dernier. Le seule égyptienne j'ai rencontré jusqu'a aujourd'hui. Une garçon aux yeux verts émeraude. Il ne parlais pas anglais et la timidité des adolescents à l'apogée de 17 ans empêché d'essayer de s'exprimer en français. Est-il toujours à Marseille? Ou retour à l'Egypte et fait partie de ces protestations? Ou a été blessé en cette manifestations? Je pense que sans doute il est illégal dans la ville française a tenu à l'écart de cette guerre.






    Il n'est pas allé à la France a recherche de la démocratie. Comme tout jeune homme a un rêve: il veut être un médecin et semble ignorer tous les problèmes qui devront faire face. Nous savons tous que la médecine est un parcours difficile et il aurait encore à surmonter la barrière linguistique. Son immaturité et peut-être qu'il est vraiment timide, l'a empêché de s'accrocher à ces classes que la première étape majeure vers la conquête de leur profession. Il a été le plus calme de mes collègues plus jeunes. Les garçons afghans ne pouvait dissimuler l'enthousiasme de partager une salle de classe avec trois filles de cultures plus ouvertes, y compris une Brésilienne. J'étais curieux de son mari qui a conduit à un collègue marocain, qui portait le voile, à la salle de classe tous les jours.





    Et je n'oublierai jamais la première fois d'être là-bas a estimé que le Brésil est un pays merveilleux. Chaque fois que j'ai demandé à parler des problèmes du mon pays que j'ai signalé l'insécurité que nous vivons ici et qui a impressionné les étrangers. Ce jour-là j'ai même été gêné d'avoir signalé que, comme en Afghanistan, ils n'avaient pas le choix: soit travailler pour les Américains ou les talibans et dans les deux cas, cela pourrait être une condamnation à mort. Les égyptiens et algériens garçon ne pouvait pas exprimer ce genre de problèmes causés à quitter leur pays, ont simplement indiqué que c'était à cause de problèmes. Mais nous pouvons faire l'idée, une vague idée, en fait.





    Les garçons, dans un certain idéal antique les a motivés: Liberté, Égalité, Fraternité. Ils n'ont pas seulement compté cette solidarité est griffée du mot du vocabulaire capitaliste. Dans ces pays dans le conflit, pour plus de problèmes qu'ils ont, les gens divisent toujours une assiette de nourriture. C'est la lutte toujours pour la liberté. Un droit qui, au milieu du siècle 21, encore besoin être conquis avec de certaines barbaries.

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  2. Merci Luciana,

    J'ai corrigé le texte à Facebook, oú j'ai publié.

    Le phrase que tu ne pas compris, est étrange. Je voulais dire: Para mim era curioso o marido que levava a colega marroquina, que usava véu, até a sala de aula todos os dias.

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